Elle obtient le prix Albert Londres en 2000 pour son livre Chienne de guerre : une femme reporter en Tchétchénie, écrit après un séjour clandestin en Tchétchénie, se fondant dans la population locale. En 2004, elle obtient le prix littéraire de l'armée de terre - Erwan Bergot pour Lendemains de guerre en Afghanistan et en Irak. Dans les dix dernières années, elle a passé son temps à arpenter, en toute indépendance, ces terrains de guerre où, trop souvent, personne ne donne la parole à la population locale. N'habitant que chez les gens, quels qu'ils soient, vêtue comme une femme locale, prenant son temps, Anne Nivat revendique le « droit à la lenteur » et le reportage « à l'ancienne », ne jurant que par le terrain.
Après avoir été correspondante à Moscou pour Libération, elle est depuis 2004 envoyée spéciale pour Le Point....
(Source Wikipédia)
Et ben, bonjour le C.V !!
Alors ça c'est ce qu'on appelle une vraie journaliste, c'est pas de la Laurence Ferrari ou de la Claire Chazal, c'est pas de la Christine Bravo ça Madame, c'est de la professionnelle et de la compétente..."vêtue comme une femme locale" qu'il dit le Wiki...pas en tailleur Chanel ou Yves Saint Laurent...c'est pas juste une speakrine ou une potiche Louboutinisée !!...
Enfin bon, j'arrête avant qu'on me reproche une fois de plus de mélanger les genres...
Encore que cette fois ci je vais probablement faire plaisir à mon anonyme préféré(e), puisque je ne vais pas vous parler politique étrangère, malgré cette entame d'article certes peu glamour mais éminemment intéressante, en particulier au regard de ce qui va suivre...
Pourquoi vous parle-je (sic!) donc de cette femme, que je ne connaissais même pas il y a cinq jours, ce qui est bien la preuve que je ne m'intéresse pas encore assez à la marche du monde, soit dit en passant...(ce que je peux être rancunier tout de même!)
Et bien parce qu'elle était chez Taddeï l'autre soir, et que je suis tombé amoureux...
Enfin je suis au moins tombé amoureux de sa brillante analyse sur la triste affaire Merah notamment...à moins, foin de toute hypocrisie, que ce ne soit surtout de son charme fou...
Il faut dire que la belle avait opté pour une robe en peau fort seyante, dévoilant ainsi ses jambes magnifiques toutes gainées de...bon, de collant sans doute, et semi-opaque qui plus est, mais enfin bon, ne boudons pas notre plaisir...et, furtivement, on pouvait également apercevoir la hauteur de ses talons, semble t'il assez vertigineux...
Je suis donc resté jusqu'à la fin, espérant qu'elle se levât enfin pour que le spectacle fût complet, bien que je me demande si on ne doit pas plutôt dire "espérant qu'elle se lève enfin pour que le spectacle soit complet", mais bon, vous savez, moi et le subjonctif..
Mais si elle est restée désespérément assise jusqu'au bout hélas, au moins l'émission fut-elle, comme à son habitude, assez passionnante. Les sujets abordés, que vous pouvez lire sous les photos ci dessous, m'intéressaient tous il faut dire, et tout ceci est donc passé bien vite, bien trop vite, alors que Patrick Sabatier lui est toujours là, avec la même émission et le même sourire à la con depuis plus de 30 ans, par exemple.
Cerise sur la gâteau, l'émission fut même ponctuée d'une chanson en live du toujours excellent Dominique A, dont je vais aller acheter sous peu la dernière production...
Mais revenons donc à celle dont j'ai bu les paroles toute l'émission, vous pensez bien...
A un moment, pendant qu'un "journaliste" du Figaro parlait, je ne sais pas trop pourquoi mais je me suis déconcentré...et je me suis alors souvenu que je tenais un blog ayant pour thème, entre autre, la féminité...
J'ai alors eu le bon réflexe, celui d'appuyer sur la touche rec. de mon magnétoscope en carton HD, et j'ai extrait quelques images de l'enregistrement pour illustrer cet article, parce que...parce que quand même...
Intelligente et féminine, courageuse et professionnelle, quel plus beau symbole de la féminité qu'Anne Nivat, à part Christine Bravo bien sur, enfin si on choisit le contre exemple parfait, sorte de preuve par l'absurde qu'on peut être femme, journaliste, compétente et gracieuse...
Admirez donc encore un peu...
Hein...Et encore, on voit pas bien...
Enfin bref, seul bémol à tant de perfection, car je tiens tout de même à garder mon côté contrariant, j'ai lu, toujours sur Wikipédia, que la belle était mariée à Jean-Jacques Bourdin, journaliste vedette de cette radio insupportable de populisme et de bon sens crétin qu'est devenu RMC...
Journaliste par ailleurs de 20 ans son aîné, si c'est pas insupportable ça aussi...
Alors qu'on avait tout juste deux petits jours d'écart, elle et moi...