mardi 1 octobre 2019

Petit inconséquent de pacotille...

On ne va pas se mentir, enfin surtout moi, mais je suis un obsédé. J'ai l'impression de l'avoir déjà écrit mille fois ici, depuis 2006 que je tiens ce blog, ici ou ailleurs, mais le moins qu'on puisse dire c'est que ça ne s'arrange pas. Dans la rue, à la cantine, au travail, dans les magasins, les musées, les cafés, en voiture, en bus, en métro, et même à la télévision, quand je vois une femme, n'importe laquelle, mon regard se porte aussitôt sur ses jambes, c'est pavlovien.

Déception quand elle est en pantalon, joie quand elle est en jupe ou en robe, c'est absurde mais c'est comme ça.

Nulle idée malsaine, nulle envie de la draguer, de l'importuner, ni même de la gêner de mon simple regard, non, je fais ça discrètement, sournoisement diraient sans doute les féministes. Juste parce que je ne connais rien de plus beau qu'une jolie paire de jambes, et juste parce que c'est pavlovien, mais vraiment, je n'exagère pas. Si, ça m'arrive...

Y'avait il donc une quelconque raison pour que cette connasse échappât à cette règle unilatéralement fixée par mon inconscient depuis, environ, 1980, mais ce n'est pas facile à dater, même au carbone 14...

Non, aucune.

Alors quand le journaliste a commencé à parler d'elle, forcément, j'ai levé la tête. Non pas pour ses idées dégueulasses, non pas pour sa blondeur aryenne de petite parvenue bien née, non pas pour son patronyme désespérant, mais bien juste parce que c'est une femme.

Et que je suis un obsédé.

Et là, la salope (oui, je revendique le droit d'insulter les personnes aux idées de merde, fussent-elles des femmes), elle ne m'a pas déçu, pour ça, pour rien en fait, hélas

Faut il que je sois à ce point assoiffé de féminité pour aller la dénicher, et m'en repaître, au fin fond du plus immonde cloaque de la bêtise humaine ?

Faut il que je n'ai rien d'autre à vous dire, à vous montrer, pour que je vous parle, et publie sur mon blog, des photos de Marion Maréchal-Le pen, oui, puisqu'il s'agit bien d'elle ?

Mais que voulez vous, sa petite jupe plissée et ses talons, moi j'ai craqué..parce que bon, les jupes plissées chez moi, c'est quelque chose, si j'avais 4 heures devant moi je vous expliquerai pourquoi, mais j'ai beaucoup plus et j'ai la flemme.





Alors bon, c'est sans doute une histoire d'image...si ses idées font bander la plupart des bas du front qui ont assisté à ce désolant spectacle, enfin ceux qui arrivent encore à bander, enfin s'il en reste, sans doute ses conseillers ont-ils jugé qu'il en fallait plus encore. 

Sardou n'était pas dans la salle (mais il aurait pu) et pourtant, en voyant ces images, j'ai soudainement entendu ça :


Maîtriser à  fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à  la Présidence
Et de là  faire bander la France.


Et ça, ça fait peur...

Je ne vous parlerai pas du reste, des discours hallucinants de haine de qui vous savez et que je refuse de nommer, de la complaisance incompréhensible des chaines infos, fléau absolu de la démocratie, j'en reparlerai, peut être...

Non, je vais vomir d'abord, et puis après j'irai réfléchir à la vacuité de cet article, de mes pulsions, quand l'essentiel est tellement ailleurs.


En clair, j
e ne devrai pas traiter ce sujet par dessus la jambe, même celle gainée de nylon sous des plis de tissu..


Petit inconséquent de pacotille que je suis (toujours insulter une personne quand elle a des idées de merde...)


3 commentaires:

ARAMIS a dit…

Dommage que ce soit elle qui me fasse bander…

ARAMIS a dit…

Et pourtant,
… pas sympathique, et de droite!

Jeff a dit…

oui dommage ! Moi elle m'excite pas, elle m'énerve ! Mais j'aime bien sa jupe !